Voilà dimanche qui touche à sa fin. Et je n'en reviens toujours pas du week-end.
Ces week-ends qui me faisaient peur d'avance peuvent en fait être des moments de partages répétés.
Je ne dis pas par là que je fais des découvertes, mais ça montre bien mon état d'esprit d'il y a peu ... je ne me comprends pas ...
Après la journée excellente d'hier, j'ai fait en sorte que celle-ci le soit tout autant.
J'ai renoncé à la grasse mat' pour ranger l'appart' et le rendre plus accueillant qu'un camp de réfugiés. Lessives, tri, rangement ... en éteignant l'éternelle tv et en dansant comme une folle sur la BO de Clara Sheller.
Ca non plus je l'aurais jamais fait. Mais pourquoi ... pourquoi j'arrive à me libérer en un mois et à passer au-dessus de mes peurs ?
Je serais si fière de lui montrer. Et de lui dire que ça n'était pas lié à lui.
Bref.
Dîner chez mes parents, pour finir. Papouilles à n'en plus finir à mon chat. Grande histoire, elle et moi.
Après-midi avec Loreline. Autant elle que moi, on était très contentes de se retrouver. Des années à se parler par sms très brefs. Son mariage en septembre où je n'ai su que très peu lui parler ... et là, une discussion ininterrompue pendant l'après-midi. Une longue balade qui m'a rendu le bout du nez et les joues rouges et froids. Le plaisir de rentrer au chaud ensuite.
Long moment consacré à mon chagrin. Long moment à parler du mariage et de ce que ça apporte. De la vie à deux. Et de la déconne, beaucoup, sinon ça ne serait pas Loreline.
Je suis finalement rentrée chez moi, profondément heureuse. Comme ressourcée.
J'ai préparé un colis à envoyer à une amie. Avec un livre qui me tient à coeur et que je veux lui envoyer parce que je suis sûre qu'elle l'appréciera. Le plaisir de faire plaisir.
Quelques lignes écrites dans un carnet acheté pendant la séance de shopping. J'ai une faculté dingue à écrire ce que je ressens en ce moment et ça me fait un bien tout aussi dingue. J'en profite, donc. Ca non plus je ne l'avais jamais fait. Me remettre en question quotidiennement.
Ces week-ends qui me faisaient peur d'avance peuvent en fait être des moments de partages répétés.
Je ne dis pas par là que je fais des découvertes, mais ça montre bien mon état d'esprit d'il y a peu ... je ne me comprends pas ...
Après la journée excellente d'hier, j'ai fait en sorte que celle-ci le soit tout autant.
J'ai renoncé à la grasse mat' pour ranger l'appart' et le rendre plus accueillant qu'un camp de réfugiés. Lessives, tri, rangement ... en éteignant l'éternelle tv et en dansant comme une folle sur la BO de Clara Sheller.
Ca non plus je l'aurais jamais fait. Mais pourquoi ... pourquoi j'arrive à me libérer en un mois et à passer au-dessus de mes peurs ?
Je serais si fière de lui montrer. Et de lui dire que ça n'était pas lié à lui.
Bref.
Dîner chez mes parents, pour finir. Papouilles à n'en plus finir à mon chat. Grande histoire, elle et moi.
Après-midi avec Loreline. Autant elle que moi, on était très contentes de se retrouver. Des années à se parler par sms très brefs. Son mariage en septembre où je n'ai su que très peu lui parler ... et là, une discussion ininterrompue pendant l'après-midi. Une longue balade qui m'a rendu le bout du nez et les joues rouges et froids. Le plaisir de rentrer au chaud ensuite.
Long moment consacré à mon chagrin. Long moment à parler du mariage et de ce que ça apporte. De la vie à deux. Et de la déconne, beaucoup, sinon ça ne serait pas Loreline.
Je suis finalement rentrée chez moi, profondément heureuse. Comme ressourcée.
J'ai préparé un colis à envoyer à une amie. Avec un livre qui me tient à coeur et que je veux lui envoyer parce que je suis sûre qu'elle l'appréciera. Le plaisir de faire plaisir.
Quelques lignes écrites dans un carnet acheté pendant la séance de shopping. J'ai une faculté dingue à écrire ce que je ressens en ce moment et ça me fait un bien tout aussi dingue. J'en profite, donc. Ca non plus je ne l'avais jamais fait. Me remettre en question quotidiennement.
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