Carrie a mal aux cheveux

J'hésite entre en rire, en rougir à n'en plus finir ou à trouver ça normal (mais ça, c'est compliqué pour moi).

La journée d'hier avait bien commencé puis en cogitant un peu trop, le moral a commencé à baisser, baisser, baisser ... l'arrivée d'Anso m'a remontée d'un coup et l'envie de passer une excellente soirée, d'oublier et de profiter a pris le dessus.

Alors, les rires, les vannes, les révélations, les phrases qui deviendront cultes ... :

Anso : "On va se garer au Colruyt!" *Anso roule* "Mais où je vais moi, il est où le Colruyt?"
Carrie : "Euh ... pas du tout par ici."
Anso : "Il faut que je me dirige vers le fleuve!"

Carrie : "Qui veut ma brochette de citrons ?"
Francis/çois : "Donne-les moi, j'ai justement des infections!"

Manger des frites à minuit, prendre un panneau négligemment laissé par des ouvriers ... des gamins.

Je vis, je respire.

Et profiter, j'en ai profité. Mais les 2 margarita de l'happy hour ont eu ... un effet détonnant qui font que ça tourne encore 12 heures plus tard.

L'horreur. J'ai honoré le soldat inconnu. Chuis pas fière du tout et j'ose plus sortir de chez moi, mon méfait est juste en face ... Si un voisin m'en parle (chuis copine avec ma voisine d'à côté de puis peu, c'est sympa), je hausserai le ton et prenant l'air scandalisé je dirai "Oui, si c'est pas malheureux, y'a plus de jeunesse!"

Et là, dans 50 minutes je suis censée aider Hélène et Max à déménager. Saint Dafalgan, je vous en prie ...



Le temps d'un soir, j'y ai moins pensé. Mais ne croyez pas que je sois fière de la méthode utilisée.


Et j'ai gagné un panneau !!! Au cas où je voudrais faire des travaux dans mon appart' ...